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Lecteur de puce sans-contact universel NEC
Mojix lance un nouveau système RFID
La grande distribution s’intéresse à l’ISO 22000

 

Lecteur de puces sans-contact universel NEC

Alors que le marché foisonne de technologies sans-contact plus ou moins propriétaires, le Japonais NEC lève un coin du voile sur un lecteur universel qui s'adapte au format de la carte. Un pas de géant vers l'interopérabilité et une étape de plus dans l'acceptation du sans-contact par les fournisseurs de services.

Une avancée vers l'interopérabilité du sans-contact. A l'occasion d'une conférence à Tokyo, les ingénieurs de NEC ont levé le voile sur un lecteur de cartes sans-contact multi-format, donnant enfin une réponse concrète au problème de l'interopérabilité entre modèles de cartes RFID. L'objet, pour l'heure au stade de prototype avancé, devrait être commercialisé dès avril 2009.

Dans le détail, le lecteur universel sera compatible avec les principaux formats et normes qui équipent aujourd'hui les cartes du marché. Les équipes de NEC ont ainsi fait la démonstration live de fonctionnement avec les cartes à base de technologies Mifare (une marque de NXP Semiconductors utilisée dans les transports, comme la système Calypso de la SNCF), Felica (poussé par Sony, notamment pour le paiement mobile), I-Code (de NXP Semiconductors), Tag-It (de Texas Instrument), EPC Global (qui forme la base de l 'Internet des objets dans la logistique grâce au vaste réseau d'interconnexion), Intellitag (Intermec) et uChip (Hitachi). A l'exception de Felica, Mifare et uChip, qui ne peuvent qu'être lus par le lecteur NEC, les autres technologies sont parfaitement supportées en lecture/écriture, promet le Japonais.

Pour accomplir ses miracles, le lecteur universel de NEC fonctionne dans plusieurs bandes de fréquences, notamment celle des 13,56 Mhz (dédiée aux applications NFC – Near Field communications - et RFID), la bande UHF (Ultra Haute Fréquence – pour notamment la TV, le GSM et le GPS) et enfin celle des 2,4 Ghz (où évoluent notamment WiFi et Bluetooth). C'est dire si le panel est large.

« Aujourd'hui chaque lecteur a sa propre application », souligne Claude Tételin, leader du groupe traçabilité du pôle SCS (Solutions Communicantes Sécurisées), imposant alors le choix d'une technologie dans un marché où aucun leader ne s'est encore dessiné. Un frein gigantesque dans les développements et l'interopérabilité. « Nous travaillons à développer un lecteur universel qui s'adapte à la carte devant lui », résumant ainsi une partie des travaux de recherches de son équipe.

Dans la pratique, cela signifie que quelle que soit la fréquence sur laquelle fonctionne la puce, le lecteur sera capable de lire – et traiter – les informations enfermées dans la puce. La diversité des plages de fréquences permet également de jouer sur la portée, et dans la foulée, de développer une série de services plus larges et variés. Une nécessité pour le marché des services associés au sans-contact promis à un avenir très florissant.

Côté entreprises, cela signifie que les déploiements de solutions RFID pourront désormais s'ouvrir à un panel de services de traçabilité plus étendu. Et surtout ce lecteur universel permet à lui-seul d'adapter la technologie aux besoins spécifiques de l'application. Un bienfait pour l'adoption du RFID et les coûts associés.

12/11/2009 Source : Cyrille Chausson / http://www.lemagit.fr

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Mojix lance un nouveau système RFID

Mojix vient de lancer la version européenne du Mojix STAR, un système RFID UHF passif. Le système Mojix STAR permet aux entreprises et autres organisations de se doter d'un système peu coûteux et répondant aux normes EPC/ETSI/ISO pour faire face à la fois à la gestion globale de la chaîne d'approvisionnement et au suivi/localisation des biens.

Combinant les toutes dernières avancées en matière de traitement du signal numérique avec une architecture innovante afin d'étendre d'un facteur 10 la couverture RFID, le système Mojix STAR présente de nombreuses "premières" qui changent radicalement la face des déploiements de la RFID passive à ultra-haute fréquence et augmente l'utilité même de la RFID.

Citons notamment :

- Une sensibilité en intérieur accrue de 100 000 fois par rapport aux précédentes solutions RFID UHF passive

- Une portée de lecture étendue de 20 fois (200 mètres) par rapport aux lecteurs de RFID passive conventionnels

- Une surface de couverture accrue de 100 fois (25 000 m2)

- Possibilité de lecture hors champs de vision

- Précision de localisation en temps réel de moins d'un mètre


Un seul système Mojix STAR est capable de traiter de nombreuses applications simultanées sur l'ensemble d'un entrepôt, d'un complexe de vente, d'un centre de distribution, d'un lieu de triage ou de tout autre grand emplacement doté d'un point unique de collecte de données et de gestion. Ces applications ne se limitent pas à la traditionnelle lecture de tags RFID mais peuvent également comprendre de nombreuses autres fonctionnalités intéressantes dans un environnement de RFID passive à la norme ETSI comme la localisation et le suivi des biens en temps réel, les clôtures virtuelles et les preuves de livraison électroniques. Ceci augmente nettement l'intérêt de la RFID passive tout en garantissant un retour sur investissement à la fois meilleur et plus rapide.

04/11/2009 Source : www.itrmanager.com

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La grande distribution s’intéresse à l’ISO 22000

Le Cies, forum international de la grande distribution, regroupe les trois cents plus grands industriels agroalimentaires (Danone, Nestlé, Coca, Unilever…) et distributeurs (Wal Mart, Carrefour, Tesco…) de la planète. Il gère différents programmes, dont l’initiative mondiale pour la sécurité alimentaire.

Le Cies a tenu en début d’année sa sixième conférence internationale sur la sécurité des aliments, qui a fourni une large vision des préoccupations des professionnels et des grandes orientations du secteur.

Des thèmes ont été abordés de façon récurrente, comme la nécessité de converger vers un standard unique. L’idée que la certification est un facteur de confiance et qu’un référentiel unique renforce la crédibilité est acquise. Le message en faveur de l’utilisation de la norme ISO 22000 "Systèmes de management de la sécurité des aliments" a été clair. Certains intervenants (Kraft, Mac Do) l’ont placé au cœur de leur exposé, d’autres l’ont cité en tant que source d’inspiration.

Le Cies pousse à la reconnaissance mutuelle des démarches à travers un système de benchmarking des référentiels. Le développement de l’ISO 22000 est freiné par l’existence de certifications imposées de type IFS ou BRC, qui sont les référentiels de la grande distribution. La reconnaissance par le Cies placerait l’ISO 22000 sur un pied d’égalité avec ces référentiels.

À suivre...

12/06/2007 Source : Enjeux / FilRFID.org

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